Le5 décembre, cérémonie hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie ainsi qu’aux rapatriés d’Afrique du Nord, aux disparus et aux Cérémoniedu 5 décembre au Mémorial AFN24 lls étaient venus nombreux pour la commémoration des morts de la guerre d’Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie, au mémorial de Coursac. Pour cette journée nationale du 5 décembre, présidée par la préfète de la Dordogne Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc, accompagnée du maire de Coursac Pascal Protano, la Cérémoniesdu 5 décembre 2021 à Sète et Montpellier. En ce jour frais mais ensoleillé à 9h30 à Sète, l’ANOCR 34-12-48 était représentée par Serge Le Cloirec, son secrétaire général, qui officiait en tant que 1er vice-président du CDAC 34, accompagné de Jean-Pierre Orsini et parmi les 11 porte-drapeaux présents Jean-François Cérémoniedu 5 décembre. Journée Nationale d'Hommage aux "Morts pour la France" de la Guerre d'Algérie et des Combats du Maroc et de la Tunisie. Partager; A+. A + A A-Zoomer ; Imprimer; hover Tout l'Agenda. Patriotique; Jeudi 05 décembre 2019. Monument aux Morts - Rue Nationale à Forbach 18h15. Rassemblement des Personnalités; Mise en place des Formations, . Journée nationale d’hommage aux morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de TunisieEn cette journée nationale, la République renouvelle solennellement son hommage aux morts pour la France » de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. La nation se souvient de toutes les victimes, civiles comme militaires, de ce conflit qui brisa tant de destins et généra tant de y a 60 ans, une guerre, longtemps niée, entrait dans sa septième année. Des soldats de métiers, des centaines de milliers de jeunes hommes appelés ou rappelés sous les drapeaux et des membres des forces supplétives combattaient pour la France sur le territoire 1952 à 1962, en Algérie, au Maroc et en Tunisie, près de deux millions d’hommes ont servi nos armes. 70 000 ont été blessés, plus de 25 000 sont tombés pour la France. Hier, ils ont combattu avec dévouement pour nos couleurs, aujourd’hui, ils reposent dans la mémoire à toute cette génération, celle qui a eu 20 ans dans les Aurès » que nous consacrons cette journée. A ceux qui y trouvèrent la mort, à ceux qui en revinrent, y ont souffert et en souffrent encore, marqués dans leur chair comme dans leur esprit. Le souvenir de ces mois de service et de guerre est toujours vivace chez nombre d’anciens son hommage et dans la reconnaissance de la douleur, la France n’oublie ni les tourments des civils, ni les rapatriés qui ont abandonné un pays qui était le leur, qui était celui de leur cœur et de leurs ancêtres. Elle sait à quel point les exactions commises à leur encontre, au printemps et à l’été 1962 notamment, puis le déracinement constituent encore des plaies sait également le sort des anciens harkis et de leurs familles qui ont subi de terribles représailles ou qui ont été contraints de quitter leur terre natale. Elle pense aussi à ces hommes et à ces femmes, civils et militaires, dont la trace a été armes se sont tues depuis 58 ans. Cette période occupe dans notre histoire et dans notre mémoire nationale une place toute particulière. L’histoire de la guerre d’Algérie est celle d’une déchirure, d’une blessure non-cicatrisée, de drames familiaux, personnels et même intimes, d’un enchevêtrement de destins bousculés parfois que cette histoire est complexe, sa mémoire est plurielle. Parce que cette histoire est la nôtre, il est nécessaire de continuer son enseignement et de permettre sa juste compréhension. Parce que ces mémoires sont essentielles pour la construction de nos identités et pour notre cohésion nationale, sa transmission aux jeunes générations doit se poursuivre de manière souvenir, témoigner, raconter, expliquer, partager, en sont les maîtres mots. C’est aussi ce que nous faisons en cette journée DARRIEUSSECQ, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la mémoire et des anciens combattants Josette Letellier, présidente de la section de Louviers, lit le message de la FNCPG-CATM-TOE. Hommage aux morts pour la France de la guerre d’Algérie Ce dimanche 5 décembre 2021, Louviers rendait hommage aux morts pour la France de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie lors d’une cérémonie officielle. Après la lecture du message de la fédération FNCPG-CATM-TOE par Josette Letellier, sa présidente locale, l’adjointe au maire, Anne Terlez, a lu le discours de la Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées, Mme Geneviève Darrieussecq En cette journée nationale, nous nous rassemblons pour renouveler l’hommage de la Nation aux morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la nous souvenons également des victimes civiles. Il y a 60 ans, la guerre d’Algérie entrait dans sa quatrième année. Après les espaces frontaliers et les paysages accidentés des Aurès et de la Kabylie, elle avait gagné Alger. Un pas supplémentaire dans la violence était franchi. En 1958, cette guerre était à l’origine de la chute d’une République et de l’avènement d’une y a 60 ans, des soldats de métiers, des centaines de milliers de jeunes hommes appelés ou rappelés sous les drapeaux et des membres des forces supplétives combattaient pour la France. Alors que la conscription battait son plein, toute une génération d’appelés a eu 20 ans dans les Aurès ». Elle y a découvert le visage de la guerre d’Algérie. Une guerre âpre et éprouvante ! Violente ! Brutale ! Une guerre qui marque pour la de soldats combattants, tant de familles concernées, tant de conséquences sur notre histoire ainsi, c’est la société tout entière qui a été impliquée dans ce conflit de décolonisation. De 1952 à 1962, en Algérie, au Maroc et en Tunisie, près de deux millions d’hommes ont servi nos armes. 70 000 ont été blessés, 25 000 sont tombés pour la France. Ces hommes ont combattu avec courage et dévouement pour nos couleurs. Aujourd’hui, ils reposent dans la mémoire nationale et la France les honore. Nous n’oublions pas les souffrances des civils, victimes de la guerre ou fauchés par un attentat. Nous pensons à toutes les femmes et à tous les hommes dont les destins ont été bouleversés par ces combats. Nous pensons aux Français rapatriés qui ont abandonné une terre qu’ils aimaient tant et qui ont souffert de ce pensons également aux harkis qui ont été contraints de quitter leur terre natale et qui ont été accueillis dans des conditions indignes en pensons aux disparus. A ces hommes et à ces femmes, civils et militaires, dont la trace a été perdue. Les armes se sont tues depuis 56 ans. Progressivement, l’histoire s’empare de cette période dont la mémoire demeure, aujourd’hui encore, vive et plurielle. Afin que les jeunes générations aient une juste compréhension de ce conflit, il est nécessaire d’assurer par l’éducation la transmission de la connaissance et de ces cela, nous ne devons pas oublier les femmes et les hommes qui ont participé ou qui ont subi ces conflits et ces combats. C’est le sens de cette journée nationale. » Après le dépôt des gerbes, une minute de silence a été suivie à laquelle ont été associés la mémoire de Maxime Marchand, la mémoire du Maréchal LECLERC pour le 74ème anniversaire de sa disparition tragique. Depuis une loi de 2012, le 19 mars est la journée nationale du souvenir des victimes de la guerre d'Algérie. Mais cette date est critiquée par une partie de la classe politique, des rapatriés et des date douloureuse. La France commémore samedi 19 mars le 60e anniversaire des accords d'Evian et du cessez-le-feu en Algérie. Lors d'une cérémonie organisée à l'Elysée où quelque 200 témoins de la guerre ont été conviés appelés, combattants indépendantistes, harkis et rapatriés, Emmanuel Macron a déclaré que cette date "ne fut ni le début de la paix, ni la fin de la guerre". Le candidat à sa réélection a ajouté "Cette date ne peut ni être la seule, ni être reniée, bousculée, oubliée." Car depuis la loi du 6 décembre 2012, le 19 mars est la "journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc". Mais cette date continue d'être rejetée parmi les harkis et rapatriés et au sein d'une partie de la droite et de l'extrême droite. Explications. Le 18 mars 1962, après huit ans de guerre, la France et les représentants du gouvernement provisoire de la République algérienne GPRA signent les accords d'Evian dans lesquels Paris reconnaît l'indépendance de l'Algérie, l'intégrité de son territoire et de son peuple. La France s'engage à évacuer progressivement ses troupes d'Algérie et à instaurer un cessez-le-feu le lendemain à midi. Des pieds-noirs, harkis, anciens combattants estiment cependant que ces accords ne marquent pas la fin de la guerre puisque les violences se sont poursuivies jusqu'à l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet 1962. Le 26 mars 1962, par exemple, lors de la fusillade de la rue d'Isly, à Alger, des soldats français ouvrent le feu sur des dizaines de manifestants opposés à l'indépendance de l'Algérie. Le bilan précis de cette tuerie reste inconnu à ce jour. Le 5 juillet 1962, alors que les habitants célèbrent l'indépendance de leur pays, au moins 700 pieds-noirs et Algériens ayant choisi la France sont massacrés en quelques heures à Oran, sous le regard passif de l'armée française. De son côté, l'Organisation de l'armée secrète OAS, qui refuse le cessez-le-feu, redouble de violence, faisant des dizaines de morts et de blessés dans des attentats et assassinats ciblés. De nombreux enlèvements et l'exode douloureux de milliers de rapatriés et de supplétifs musulmans ayant combattu auprès de la France ont également lieu après le 19 mars. Entre 55 000 à 75 000 harkis, notamment, ne sont pas autorisés à rejoindre la France et sont victimes de massacres et de représailles en Algérie, rappelle France Culture. "Pour nous, cette date ne marque pas la fin de la guerre, mais le début du génocide harki avec des milliers de massacres", déplore Hacène Arfi, président de l'association Coordination Harka, auprès 20 Minutes. "La guerre d'Algérie a fait un nombre de victimes triple après sa fin 'officielle' qu'avant !", dénonce dans Le Figaro le général Hervé Longuet, président de l'Union nationale des combattants UNC. Au sein de la droite et de l'extrême droite, la polémique enfle dès 2012. Dans une tribune publiée dans Le Figaro en 2016, l'ancien chef d'Etat Nicolas Sarkozy estime que "choisir la date du 19 mars ... c'est considérer qu'il y a désormais un bon et un mauvais côté de l'Histoire et que la France était du mauvais côté." Le maire de Nice, Christian Estrosi alors LR, refuse de commémorer le 19 mars dans sa ville, date qu'il qualifie de "provocation inqualifiable à l'égard des rapatriés et des harkis". En 2014, le maire de Béziers, Robert Ménard extrême droite, décide de débaptiser la rue du 19 mars 1962 pour lui donner le nom d'un officier partisan de l'Algérie française. Dix ans plus tard, les critiques n'ont pas cessé. La candidate LR à la présidentielle, Valérie Pécresse, s'est engagée si elle était élue à trouver "une autre date" que le 19 mars pour commémorer la fin de la guerre d'Algérie, car "80% des victimes civiles sont tombées après les accords d'Evian", a-t-elle affirmé jeudi. "A l'évidence, le 19 mars ne marque pas la fin du conflit algérien. Quatre-vingts pour cent des victimes civiles sont tombées après les accords d'Evian." Valérie Pécresselors d'un déplacement à Nîmes Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national, a également rappelé sur France Inter qu'elle contestait "depuis longtemps" cette date car "il y a eu des dizaines de milliers de harkis qui ont été sauvagement assassinés" après le 19 mars 1962. Pour l'historien Gilles Manceron, ces critiques illustrent un "réveil du projet colonial". "C'est un fait qu'il y a eu encore des victimes après le 19 mars en Algérie et en France. Mais si elles ont existé, c'est en raison du refus de l'OAS de reconnaître l'indépendance et l'application des accords d'Evian", expliquait-il à France 24 en 2016. "Il y a eu après le 8 mai 1945 encore de nombreux Français tués dans le Pacifique, notamment dans des camps japonais. Cela ne nous empêche pas de dire que le 8 mai marque la fin de la Seconde Guerre mondiale", rappelle-t-il. "C'est un affrontement très franco-français ... on ne peut pas rester dans des mémoires communautaires", pointe de son côté l'historien Benjamin Stora auprès de L'Indépendant. "On ne peut pas vivre éternellement dans les accusations les uns des autres." Dans son rapport sur les mémoires de la guerre d'Algérie remis à Emmanuel Macron, il préconise de commémorer différentes dates symboliques. Parmi elles, le 19 mars, mais aussi le 25 septembre hommage aux harkis ou encore le 17 octobre 1961 répression de la manifestation des travailleurs algériens en France. Ils étaient quelques courageux en ce samedi matin pluvieux à s’être déplacé au monument aux morts pour rendre hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Article réservé aux abonnés Le lycée de Nangis honore la mémoire des morts pour la France lors de la Guerre d’ classe de seconde 2 a travaillé en App, avec Madame Bourillon et Noémie, sur la guerre d’Algérie. Certains ont travaillé sur les trois nangissiens tués lors de ce conflit qui a débuté en 1954, d’autres ont présenté le contexte international des années 1954 1957 date de décès du troisième nangissien. D’autre enfin ont réalisé des panneaux sur la guerre avec des photos, des statistiques. Ce travail était présenté le 5 décembre huit élèves présents ont ainsi pu évoquer Eloi Vaugein, Jacques Lalot et Michel de moulin, décédés en 1956 et 1957, ils étaient âgés de 22 à 37 ans. Puis ils ont présenté leurs panneaux à la cinquantaine de personnes présentes anciens combattants notamment, élus, parents….

cérémonie du 5 décembre guerre d algérie